des mois de préparation
Par jess farrugia le 05 novembre 2012, - PVT - Lien permanent
Je ne sais plus quand nous est venue l'idée de partir au Canada. Ni comment nous comment on a entendu parler du PVT. Ni comment ce départ est devenu tellement évident qu'on a arrêté de se poser ce genre de questions.
Depuis plusieurs mois, on se renseigne. On passe toutes les semaines plusieurs heures sur l'excellent, que dis je excellent, indispensable site pvtite. On surf sur les blog d'expat au canada. Bref on se renseigne. Mais on s'interdit aussi de se projeter. Parce que rien ne dit qu'on l'aura ce PVT. Ce n'est pas si simple ! Pourquoi ? Parce que ce qui est bien avec le PVT canada c'est que :
- il y a des quotas
- on ne sais pas quand ouvrent les quotas (en automne, genre)
- il y a dossier de malade à remplir
- on ne sait pas si le dossier sera le même que l'an dernier donc on ne pas pas -tout- anticiper.
Donc on fait ce qu'on peut pour se préparer.
On refait nos passeports, on planche sur nos lettres de motivation expliquant ô combien ce PVT nous est indispensable, on refait nos CV, on demande une attestation de fond à la banque, on met un max de sous de coté, on regarde les formulaires de l'an dernier et on s'entraine à les remplir dès fois que..., on lit les tutos des années passés, les principales difficultés rencontrées par les postulants,on se rend aux salons dédiés à l'emploi à l’étranger, on rencontre des gens de l'ambassade, on s'inscrit au forum, on like les pages facebook, on suit les comptes twitters, etc
On fait plein de choses. On s'agite. On s'occupe.
Et pourtant on est là, impuissants. A attendre la date de l'ouverture. A checker que non, décidément, on ne peut pas faire plus que ce qu'on a déjà fait. Le stress monte. L'année passé les quotas avaient ouvert le 16 novembre. Nous vu l’engouement pour ce programme d'année en année, et vu les dates des différent salon, on a plutôt parié sur une ouverture entre le 2 et le 11, histoire de faire un écrémage, que seul les candidat les plus motivés soient prêts au moment du grand saut.
Alors on attend.